Il débute sa carrière comme membre actif du Théâtre du Soleil de 1999 à 2003 et par des tournées en Asie dont les rites l’influenceront dans ses créations futures.
Pour étudier les phénomènes de transes en Occident, il s’installe à Berlin où il collabore avec des artistes (Antonia Baehr, Aranxtia Martinez, Eszter Salamon, Tino Seghal, Maria Clara Villa Lobos, Tamer Yigit et Clemens Von Wedemeyer) et entame une série de collaborations avec des figures de la musique électronique et électro-acoustique, comme Ellen Alien, DJ Chloé, Pantha du prince, Jeff Mills, Benoist Este ou, plus récemment, Deena Abdelwahed et Daox.
Collaborant également avec le monde de la mode et du cinéma, c'est au croisement de plusieurs pratiques artistiques que naît sa première pièce en tant que chorégraphe, Ersatz. Suivront, A Short Term Effect et Unbecoming solo, créée dans le cadre d’une résidence à New York. Depuis 2010, Alexandre Roccoli développe une recherche plastique et chorégraphique sur des gestes artisanaux anciens, déjà perdus ou résistants à l’oubli. À travers les créations Empty picture (2013), Longing (2014), Weaver Raver (2015), Weaver Quintet (2017) et différents ateliers, le chorégraphe a ainsi réuni la matière d’une trame aussi visuelle que sonore sur le monde tisserand.
Ses dernières créations travaillent un dispositif où le danseur est visible de près et ses créations se font écho dans une série des pièces autour de mémoires oubliées altérées : Di Grazia (2019) qui est une série de chants reliés à ce rapport aux blessures et à la condition féminine dans l’Italie du Sud ; le film Mamma Shiavona s’inscrit dans cette série de chants invoquant la Grâce, ici en l’honneur de la Madonne des Femminielli.
Sa création en cours Long Play avec le Ballet national de Marseille s’inscrira dans une réflexion sur les vertus curatives de l’art.
Pour étudier les phénomènes de transes en Occident, il s’installe à Berlin où il collabore avec des artistes (Antonia Baehr, Aranxtia Martinez, Eszter Salamon, Tino Seghal, Maria Clara Villa Lobos, Tamer Yigit et Clemens Von Wedemeyer) et entame une série de collaborations avec des figures de la musique électronique et électro-acoustique, comme Ellen Alien, DJ Chloé, Pantha du prince, Jeff Mills, Benoist Este ou, plus récemment, Deena Abdelwahed et Daox.
Collaborant également avec le monde de la mode et du cinéma, c'est au croisement de plusieurs pratiques artistiques que naît sa première pièce en tant que chorégraphe, Ersatz. Suivront, A Short Term Effect et Unbecoming solo, créée dans le cadre d’une résidence à New York. Depuis 2010, Alexandre Roccoli développe une recherche plastique et chorégraphique sur des gestes artisanaux anciens, déjà perdus ou résistants à l’oubli. À travers les créations Empty picture (2013), Longing (2014), Weaver Raver (2015), Weaver Quintet (2017) et différents ateliers, le chorégraphe a ainsi réuni la matière d’une trame aussi visuelle que sonore sur le monde tisserand.
Ses dernières créations travaillent un dispositif où le danseur est visible de près et ses créations se font écho dans une série des pièces autour de mémoires oubliées altérées : Di Grazia (2019) qui est une série de chants reliés à ce rapport aux blessures et à la condition féminine dans l’Italie du Sud ; le film Mamma Shiavona s’inscrit dans cette série de chants invoquant la Grâce, ici en l’honneur de la Madonne des Femminielli.
Sa création en cours Long Play avec le Ballet national de Marseille s’inscrira dans une réflexion sur les vertus curatives de l’art.